Ce temps que nous avions au monde
Ciné-concert
Ce spectacle est la rencontre entre la pianiste Emmanuelle Bouillot et le vidéaste François Salès autour des 24 préludes opus 28 de Frédéric Chopin.
C'est la rencontre insolite entre une création vidéo empreinte d'humour et de gravité, de souvenirs, de noir et de blanc, et la fresque musicale opus 28 de Chopin.
C’est la confrontation de deux univers fragmentés : le monde intérieur en éclats qu’est le chef d’oeuvre de Chopin, et le regard d’une création vidéo faite d’images éparses d’un XXème siècle déchiré par la guerre, images de gravité et d’insouciance mélangés.
Sur scène c’est le duo entre une pianiste et ses préludes d’une part, et de l’autre un vidéaste qui monte son film en direct suivant au plus près les inflexions de l’interprétation.
Le programme alterne l’opus 28 de Chopin et une œuvre du compositeur Boris Clouteau, « Of », 13 miniatures en hommage à Chopin.
DISTRIBUTION
Piano : Emmanuelle Bouillot
V-Jing : François Salès
Frederic Chopin : 24 preludes
Boris Clouteau : Of
PRESSE
En musicien doué d’un sens aigu du rythme et du climat, François Salès établit des correspondances subtiles entre les Préludes de Chopin et l’émotion qui se dégage d’une série d’images de guerre, de bonheur, d’insouciance ou de gravité.
Mieux encore, à travers les enchaînements d’images on perçoit une architecture qui se superpose à celle de la musique, en contrepoint, et des passerelles entre les séquences. C’est d’autant plus fascinant que la synchronisation, en direct, avec le jeu pianistique fluide et engagé d’Emmanuelle Bouillot laisse toujours une marge fructueuse d’incertitude.
Gérard Condé, Le Monde